A propos d'une couronne portée par Ramsès II en Nubie Marie-Christine LAVIER Docteur en égyptologie
Lors de l'exposition « Egypte vision d'éternité » qui s'était tenue au Musée de l'Ephèbe au Cap d'Agde (Hérault) en 1999-2000, une statuette d'Harpocrate en bronze du Musée Egyptien du Caire avait attiré mon attention en raison de sa couronne inhabituelle.
Cette couronne est composée d'une paire de cornes horizontales de bélier, portant un disque solaire central surmonté de deux hautes plumes d'autruche, elles-mêmes flanquées latéralement d'un cobra dressé et solarisé. Il arrive parfois qu'aux cornes horizontales soient suspendues de chaque côté des pendeloques en forme d'uraei disqués, à l'unité ou en paire.
L'étude de cet Harpocrate du Caire (bibliographie N° 1) m'avait permis de conclure que cette couronne réunissait les caractères des divinités crocodile et faucon détentrices de la fonction royale héritée d'Osiris, ce qui justifiait qu'elle soit portée par le dieu enfant son fils. Je l'avais qualifiée comme étant « la couronne de légitimité ».
A la suite de cette étude, je me suis tournée vers les rois de la période pharaonique susceptibles de la porter, et j'ai constaté avec surprise qu'ils étaient fort peu nombreux. J'ai relevé que, parmi eux, Ramsès II se détachait très nettement dans les spéos et hémispéos qu'il avait fait aménager en Nubie. En effet, il apparaît souvent avec la couronne en question soit en pharaon terrestre, soit en monarque divinisé, dans les deux spéos d'Ibchek et de Meha (respectivement le « petit temple » et le « grand temple » d'Abou Simbel), ainsi que dans les hémispéos de Derr, Ouadi es-Séboua et Gerf Hussein, réunissant un total de quarante-six scènes. Cette fréquence est trop remarquable pour être anodine.
Aksha : A cette liste s'ajoutent encore deux linteaux trouvés dans le temple d'Aksha du Nouvel Empire. Ce sanctuaire, laissé inachevé à la mort de Séthy 1er, est terminé dans les premières années de règne de son fils qui le consacre à sa propre forme divinisée « Ousermaâtrê-Setepenrê le grand seigneur de Nubie (T3-Stj) », et peut-être aussi au culte de Séthy déifié. Sur le premier linteau (bibliographie N° 2), Ramsès II, coiffé de la couronne associée à la perruque-ibes ceinte du bandeau royal à uraeus, menace de sa lance un ennemi « homme du sud » qu'il tient par les cheveux. L'inscription décrit le pharaon dans sa fonction du maintien de l'ordre établi en contenant les forces chaotiques du sud et du nord. Cette scène est la copie fidèle d'une stèle inédite également trouvée à Aksha, qui présente Séthy 1er avec la même couronne et dans la même attitude face à un adversaire du sud (bibliographie N° 3). Sur le second linteau, ou plutôt sur le fragment de ce linteau brisé (bibliographie N° 2), Ramsès II porte la couronne posée sur le némès avec cobra frontal et offre les vases à vin à son image divinisée qui est la principale divinité du temple. Les courts textes d'accompagnement sont stéréotypés et ne peuvent apporter aucun élément permettant d'expliquer les raisons pour lesquelles le roi porte cette couronne plutôt qu'une autre pour faire l'offrande du vin.
Ibchek (le « petit temple » d'Abou Simbel » : (bibliographie N°s 4-5). Creusé dans le rocher d'Ibchek consacré à Hathor, ce spéos semble avoir été aménagé avant le « grand temple » par Ramsès II au début de son règne pour sa Grande Epouse Royale favorite. Le nom de ce lieu sacré « Nofrétari pour qui se lève le soleil » contient en sa définition la fonction essentielle que le roi a voulu lui attribuer, en synergie avec le spéos de Meha aménagé un peu plus tard. A Ibchek, Nofrétari identifiée à Hathor et à Sothis, incarne le principe féminin fécond. A Meha apparaît au monde le nouveau soleil Ramsès-Horakhty, tel qu'il figure sur la façade au-dessus de la porte d'entrée du spéos. De l'union du nouvel astre solaire et de Sothis doit naître le flot des hautes eaux vitales de l'inondation. Dans ce contexte, il n'est pas étonnant de rencontrer dans le « petit temple » à huit reprises la figure de Ramsès portant la couronne qui nous occupe, ainsi que j'ai pu la définir précédemment: la couronne de l'héritier d'Osiris, issu de la lignée du Créateur, le fils déclaré légitime par le Créateur et roi des dieux, et officiellement reconnu comme tel. Seul à être admis au trône d'Egypte cet héritier, devenu monarque, a le devoir d'en assumer les charges, en particulier d'assurer la bonne marche du monde créé selon la Maât. A ce titre, le roi a la responsabilité prioritaire de garantir chaque année le retour de la crue dont le pays dépend entièrement. Tel serait le sens à donner à la présence répétée de cette couronne spécifique sur la tête de Ramsès II dans le spéos d'Ibchek. Cette signification est si importante que le colosse septentrional de la façade (fig. 2) représente le monarque ainsi couronné, en pendant au colosse sud représentant aussi Ramsès, en taille plus grande proche de seize coudées, la hauteur idéale de l'inondation (fig. 1).
Madame Desroches-Noblecourt m'avait fait l'honneur de prendre en considération ma remarque sur le colosse nord de la façade du « petit temple » dont elle avait jadis assuré la publication. De nos discussions il est ressorti qu'il devait exister une relation entre le colosse septentrional qui, coiffé de la couronne de légitimité, figurait Ramsès l'héritier reconnu et le roi légitime d'Egypte-associée à la direction cardinale du nord- et le colosse méridional qui, d'une taille plus élevée proche des seize coudées idéales, représentait Ramsès identifié au nouveau soleil faisant venir la crue des contrées du sud par son union avec la reine assimilée à Sothis. Je rends ici un hommage reconnaissant à Madame Desroches-Noblecourt, dont l'érudition et l'expérience m'ont permis d'appréhender le sens profond de ces deux figurations colossales du roi et leur rôle joué dans cette façade du temple rupestre d'Ibchek.
Fig. 1 - Façade du petit temple d'Abou Simbel. C. Desroches-Noblecourt – C. Kuentz: Le petit temple d'Abou Simbel II, Le Caire 1968, pl. IX. Le colosse du nord portant la couronne est à droite.
Fig. 2 : Le colosse nord de la façade du petit temple d'Abou Simbel. C. Desroches-Noblecourt – C. Kuentz: Le petit temple d'Abou Simbel II, Le Caire 1968, pl. XX.
Meha (le « grand temple » d'Abou Simbel) : (bibliographie N°s 6-7). Dans le plus vaste spéos de la Basse Nubie dédié à Amon, Rê-Horakhty, Ptah et Ramsès II déifié, la figure du roi coiffé de la couronne apparaît seulement trois fois dans les salles du trésor sud : dans deux scènes de la salle N servant d'antichambre aux deux chambres du trésor, et dans un tableau de la salle P où était déposée une partie du trésor du spéos. Nous ne laissons pas d'être étonnés de la modestie des scènes quant à leur nombre et à leur emplacement très secondaire par rapport à celles du « petit temple » d'Ibchek. Il faut noter toutefois que les deux représentations du souverain avec la couronne dans la salle N développent des thèmes de première importance. L'une est associée à la fête-sed et donc au renouvellement de la fonction royale; l'autre décrit le couronnement (avec la couronne de légitimité) et l'investiture de Ramsès par Rê-Horakhty représentant le nord c'est-à-dire l'Egypte, et par Thot/Amon représentant de sud, c'est-à-dire la Nubie, selon la théologie de la partition géographique observée dans le spéos de Meha.
Derr : (bibliographie N°s 8-9). Probablement aménagé à l'occasion de la première fête jubilaire de Ramsès II sur la rive droite, l'hémispéos est consacré aux aspects diurnes de la divinité solaire à laquelle est assimilé le monarque divinisé : Rê, Horakhty et Ousermaâtrê déifié. La fonction de ce temple lié à la fête-sed, donc au renouvellement de la fonction royale, expliquerait d'une part les neuf scènes impliquant Ramsès portant la couronne qui nous intéresse. D'autre part, elle justifierait que le roi ainsi coiffé, se présentant donc comme l'héritier au trône reconnu légitime, apparaisse à divers titres aux côtés des plus importantes divinités en relation avec la royauté : les membres de la triade thébaine – Amon-Rê de Karnak, Amon-Rê-Kamoutef, Mout Dame d'Achérou et Khonsou – Montou de Thèbes et d'Héliopolis, Atoum d'Héliopolis, Harsiésis, Horus ancêtre divin des pharaons, et Ouret-Hekaou elle-même, incarnation de la Double-Couronne, qui embrasse Ramsès dans une scène sur un pilier de la deuxième salle hypostyle.
Un tableau de signification majeure se tient sur la paroi ouest de cette même salle. En perruque tripartite à cobra frontal que domine la couronne dotée d'uraei en pendeloques, le souverain est la figure centrale d'un groupe de trois personnages. Harsiésis derrière lui et Atoum devant lui le prennent par la main pour l'introduire auprès de Rê-Horakhty et de la déesse d'Héliopolis Iouesaâes en vue de lui « donner l'éternité dans la fête-sed », c'est-à-dire en vue de l'investir éternellement de la fonction royale renouvelée. Pour être conduit vers le dieu qui la lui donnera, le monarque est coiffé de la couronne de légitimité. Il est significativement encadré par Atoum le Créateur, le premier de la lignée des dieux ayant régné sur l'univers créé, et par Harsiésis, l'héritier d'Osiris déclaré légitime, le dernier descendant des dieux ayant gouverné la terre. Ramsès est conduit à son investiture éternelle par ces deux principaux représentants de la lignée divine fondatrice de la fonction royale, lesquels le reconnaissent comme leur descendant et leur héritier légitime apte à la recevoir, ainsi que l'exprime la couronne qu'il porte.
Ouadi es-Séboua : (bibliographie N°s 10-11). Ramsès II fit aménager ce grand hémispéos sur la rive occidentale, à proximité du temple rupestre creusé par Aménophis III, entre sa trente-cinquième et sa cinquantième année de règne, et il le fit consacrer à Amon et à sa propre forme divinisée. Ce sanctuaire détient le record du nombre de scènes, seize, dans lesquelles le roi apparaît coiffé de la couronne en question. Elles sont distribuées dans toutes les parties du temple, depuis le mur extérieur jusqu'au saint des saints (fig. 3 : le pylône). Dans une majorité de scènes (onze), le pharaon ainsi couronné présente des offrandes variées aux grandes divinités thébaines, héliopolitaines et horiennes. A cet ensemble s'ajoutent dans le sanctuaire central deux reliefs en symétrie, dans lesquels il est figuré portant la couronne et reçu par Mout dame d'Achérou côté sud (fig. 4) et par Hathor dame de la Vallée côté nord, qui lui accordent respectivement les années de règne de Rê et d'Atoum et les nombreuses fêtes-sed. Nous trouvons encore la couronne de légitimité associée au renouvellement de la fonction royale, cette fois par le truchement des déesses qui la représentent, au plus profond de l'hémispéos, là où oeuvrent les forces mystérieuses du monde divin. Enfin dans trois autres scènes, Ramsès II divinisé coiffé de la couronne reçoit les offrandes majeures - Maât et la fumigation de résine de térébinthe – en compagnie des dieux les plus éminents du panthéon. C'est ainsi que, sur le mur ouest de la cour intérieure, dans la section sud, le roi déifié avec la couronne, assis derrière Amon-Rê et le tenant par l'épaule, reçoit Maât, l'offrande par excellence, élevée par le pharaon terrestre Ramsès en couronne de Haute Egypte (fig. 5). Sur la même paroi dans la section nord, se tient le tableau en regard : le monarque divinisé portant la couronne enlace la taille du dieu Horakhty à tête de faucon assis devant lui. Tous deux reçoivent une fumigation de résine de térébinthe de la part du souverain terrestre Ramsès en couronne de Basse Egypte. Les exemples précités montrent qu'à Ouadi es-Séboua, beaucoup de scènes fonctionnent en binômes basés sur le parallélisme nord-sud, ce qui explique aussi leur emplacement dans le programme iconographique. Il semble que, comme dans le grand spéos de Meha à Abou Simbel, le sud soit réservé à Amon thébain et nubien, ainsi qu'aux autres divinités de Thèbes, et le nord soit le domaine de Rê, des divinités de la sphère héliopolitaine et des dieux de Memphis.
Fig. 3 : Ouadi es-Séboua, le pylône. Le tableau central de chacun des môles présente Ramsès II avec la couronne massacrant les ennemis devant Amon-Rê et Horakhty.
Fig. 4 : Ouadi es-Séboua, le sanctuaire. Ramsès II avec la couronne est reçu par Mout « dame d'Achérou » coiffée du pschent.
Fig. 5 : Ouadi es-Séboua, la cour intérieure, mur ouest, côté sud. Ramsès divinisé portant la couronne (à droite) est assis derrière Amon-Rê. Il reçoit Maât offerte par Ramsès II le roi terrestre coiffé de la couronne de Haute Egypte (à gauche).
Gerf Hussein : (bibliographie N°s 12-15). Aménagé après la cinquantième année du règne de Ramsès II, cet hémispéos est le dernier du programme de fondations religieuses conçu par le pharaon en Nubie. Il est dédié à Ptah, Ptah-Tatenen et à Hathor, en association avec le roi déifié. Ces quatre divinités sont sculptées en haut-relief dans la niche axiale du sanctuaire, parmi lesquelles Ramsès se présente avec la couronne.
Les six autres scènes référencées comportant l'image de la couronne qui nous intéresse se situent sur les murs et les piliers de la salle hypostyle. Trois tableaux montrent le souverain coiffé de la couronne faisant offrande à des divinités en relation directe avec la royauté : Horus de Nekhen, Mout portant le pschent, et Amon-Rê à tête de bélier.
Cette dernière scène présente une particularité : le roi et le dieu Amon-Rê portent tous les deux la couronne, celle qui nous occupe. La légende effacée du dieu nous interdit malheureusement de connaître la nature, thébaine ou nubienne, de cet Amon-Rê criocéphale exceptionnel. La même caractéristique peut être observée dans un autre tableau où le dieu Néfertoum, coiffé de la couronne, prend la main de Ramsès arborant lui aussi la couronne, et lui tend de son autre main la vie et le signe-ouas du pouvoir. De tous les temples de Basse Nubie concernés par cette étude, Gerf Hussein est le seul à présenter ces deux scènes uniques mettant en présence le roi et le dieu portant la même couronne.
Dans les deux derniers tableaux, également importants, c'est la forme divinisée de Ramsès qui est coiffée de la couronne. Sculpté en haut-relief dans la niche n° 2 du mur sud de la salle hypostyle E, « Ramsès-aimé-d'Amon dans la Demeure de Rê » c'est-à-dire le roi-dieu résident du temple de Derr, porte la couronne, encadré par deux Horus de Nubie, celui de Bouhen et celui de Baki. Un bas-relief du mur est (côté nord) de cette même salle hypostyle montre un groupe de trois divinités recevant une fumigation de résine de térébinthe de la part du pharaon terrestre. Ramsès divinisé avec la couronne occupe la position centrale de ce groupe, placé entre Rê-Horakhty hiéracocéphale et Maât qui a envers le roi déifié des gestes de protection.
Qu'ils soient temples jubilaires ou destinés à une fonction en relation avec l'inondation, les sanctuaires nubiens de Ramsès ont été dédiés aux plus éminentes divinités : Rê, Horakhty, Ptah et Hathor à Meha et Ibchek, Rê et Horakhty à Derr, Amon à Ouadi es-Séboua, Ptah, Ptah Tatenen et Hathor à Gerf Hussein, auxquels s'associe le pharaon divinisé identifié aux dieux masculins ou se présentant comme leur fils. Ces dieux étaient à la fois les représentants des courants majeurs de la théologie supports de la monarchie égyptienne – répondant à la volonté royale d'apaisement et de rassemblement après les troubles religieux de l'épisode amarnien – et l'expression se manifestant dans les lointaines contrées du sud des énergies à l'origine de la crue vitale du Nil. L'acmé de cette efficacité théologique élaborée afin de réunir toutes les forces divines en vue du déclenchement de l'inondation annuelle fut peut-être atteinte dans l'action combinée des deux temples rupestres d'Ibchek et de Meha à Abou Simbel.
La représentation fréquente (quarante-six occurrences) de la couronne de légitimité, quel que soit le contexte, montra la volonté appuyée et constante de Ramsès, jusqu'à la fin de son règne, d'affirmer sa légitimité au trône et de la faire confirmer par les dieux en relation avec la royauté. Théologiquement reconnu comme le descendant d'Osiris, Ramsès put ainsi être considéré comme le véritable roi d'Egypte, le seul en mesure d'assurer le bon fonctionnement du monde créé et organisé par la Maât. A ce titre, grâce au soutien de tous les dieux des temples de Nubie, il put s'acquitter de son devoir le plus exigeant : garantir l'arrivée annuelle de la crue, source de toute vie.
BIBLIOGRAPHIE A propos d'une couronne portée par Ramsès II en Nubie
N° 1 M.-Chr. LAVIER, dans M. ELDAMATY – M. TRAD (éd.) : Un Harpocrate remarquable du Musée Egyptien du Caire et la couronne de légitimité, Egyptian Museum Collections around the World. Studies for the Centennial Egyptian Museum Cairo II, Le Caire 2002, p. 723-732.
Le temple d'Aksha : N° 2 J. VERCOUTTER: Preliminary Report of the excavations at Aksha... 1961, dans Kush 10, 1962, pl. XXXIV c-d, p. 113, 116-117. N° 3 J. VERCOUTTER, dans Le Livre du Centenaire, MIFAO 104, 1980, p. 175, fig. c.
Ibchek, le « petit temple » d'Abou Simbel : N° 4 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT – C. KUENTZ : Le petit temple d'Abou Simbel vol. I-II, CEDAE, Le Caire 1968. N° 5 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT : Le secret des temples de la Nubie, Paris 1999, p. 215-226.
Meha, le « grand temple d'Abou Simbel » : N° 6 S. DONADONI – H. EL-ACHIRIE – Chr. LEBLANC – F. ABDEL-HAMID : Grand temple d'Abou Simbel III. Les salles du trésor sud, fascicules 1-2, CEDAE, Le Caire 1975. N° 7 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT, o.c. en N° 5, p. 185-214, p. 227-233.
Hémispéos de Derr : N° 8 A.M. BLACKMAN : Temple of Derr, Le Caire 1913. N° 9 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT, o.c. en N° 5, p. 235-241.
Hémispéos de Ouadi es-Séboua : N° 10 H. GAUTHIER : Le temple de Ouadi Es-Sebouâ vol. I-II, Les temples immergés de Nubie, Le Caire 1912. N° 11 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT, o.c. en N° 5, p. 243-252.
Hémispéos de Gerf Hussein : N° 12 J. JACQUET – H. EL-ACHIRIE : Gerf Hussein I. Architecture, CEDAE, Le Caire 1978. N° 13 M.A.L. EL-TANBOULIE - C. KUENTZ – A .A. SADEK : Gerf Hussein III, CEDAE, Le Caire 1975. N° 14 M.A.L. EL-TANBOULI – H. DE MEULENAERE – A.A. SADEK : Gerf Hussein IV, CEDAE, Le Caire 1978. N° 15 Chr. DESROCHES-NOBLECOURT, o.c. en N° 5, p. 253-262.
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